Chapitre III
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Chapitre III
AUTEUR : Beautiful Mistake
Cela fait bientôt trois semaines qu'Harry est partit. Trois semaines que le groupe se décompose presque. Trois semaines que Louis ne dors pratiquement plus. Trois semaines que la maladie d'Harry se développe. 0ui, effet, en trois semaine, beaucoup de choses avaient changés. Tout particulièrement Harry, qui était devenu froid avec tout le monde. Il avait perdu le sourire, le "Harry souriant" ne semblait être qu'une image lointaine. Il sortait de sa chambre, mais qu'avec ce gilet, même sous presque 35°c dehors, il le portait, ce qui provoqua sa maladie, plus communément appeler la "crève" d'où il vient. Une sorte de rhume aggravé, ou quelque chose qui s'en rapprochait. Autant dire qu'il s'en fichait royalement, il continuait à le porter, ne s'en séparant jamais. Pour lui, c'était le seul lien qui le tenait encore à la vie. Il avait cesser de pleuré, c'était sa seule condition pour rentrer avec le groupe. Arrêter de pleurer, ne plus s'apitoyer sur son sort, redevenir fort. Voilà ce qu'il s'était fixer. Il ne voulait plus perdre de temps à se lamenter. Dans 8 jours, il rentrerait les voire. Niall, Liam, Zayn, ses parents, sa meilleure amie, et bien sûr, Louis.. En était-il heureux ? Personne ne le savait, il ne laissait rien paraitre, il gardait tout pour lui. Il avait comme seule compagnie l'angoisse, et celle-ci n'était pas d'une grande aide pour lui. Malgré tout, il ne se laissait pas abattre, il sortait plus souvent, plage, piscine, salle de sport, restaurants, mais son visage n'exprimait aucun sentiment, il était comme indifférent à tout ce qu'il se passait, comme s'il regardait la scène sans même y être.
Eleanor ne venait plus à l'appartement de Louis et Harry, elle était repartie chez ses parents pour laisser Louis réfléchir seul. Après tout, elle supportait sa mauvaise humeur, ses crises, tout, et ce n'était pas de tout repos. En parlant de Louis, il allait de moins en moins bien, presque une semaines qu'il ne dors pas ou très, très peu.
Elipse de six jours.
Deux jours. Deux derniers jours de liberté. Enfin, si on pouvait appeler ça de cette manière. Pour Harry, ce n'était ni plus ni moins qu'une corvée. Quelque chose qu'il devait faire sans réellement avoir la moindre conviction. Il se demandait comment cela s'était-il dérouler pour les autres. Pour les médias aussi. Le monde des paparazzi ne vous épargne jamais, alors s'il était arrivé quelque chose au groupe par sa faute, il s'en serait voulu à jamais. Puis, il se demanda comment allait son petit irlandais, ainsi que Liam, Zayn, ses meilleurs amis, sa famille, mais surtout Louis. Il appréhendait. Et si à son retour Louis lui en voulait ? Et s'il était fâcher contre lui ? S'il s'était senti délaisser ? Et de fil en aiguilles il vint à se demander si en fait, Louis ne s'en fichais pas un peu ? Peut être bien qu'en fait tout ça ne l'a pas atteint plus que ça. Peut être bien qu'en fait Louis n'y prêtait pas plus attention que ça. Et si au final Louis n'avait pas envie qu'il revienne. Harry se préparait -Enfin, non, se martyrisait le coeur- à toutes éventualités.
- Larry Stylinson..
0ui, c'est comme ça que l'on les appelait, lui et Louis. Parce qu'il s'entendait vraiment bien, parce qu'il avait cette complicité inégalable, parce qu'il avait développer cette Bromance magnifique. 0ui, Larry Stylinson, un composé de leurs nom qui sonnait vraiment bien. Ce n'est pas juste se disait-il. Et si au fond il avait gâcher leur amitié ? Gâché Larry Stylinson ? Gâché leurs années d'amitié si fusionnelle ? Et si au fond, il n'avait pas tout ruiné ? Tout gâché et anéantit ? Si au fond, en partant, il n'avait pas fait un des plus grosses erreur de sa vie ? Sa réponse à ces question : Surement. 0ui, peut être qu'après tout il avait raison. De toutes façon, il ne pouvait plus faire marche arrière, tout était déjà fait. Et c'était dans exactement 46heures et 23 minutes qu'il allait avoir sa réponse.
Super ! Se disait Louis. En plus d'avoir perdu son meilleur ami et sa petite amie, il fallait en plus qu'il se dispute avec une de ses quatre sœur, Charlotte, ou plutôt, Lottie. 0ui, elle était venue lui rendre visite dans l'espoir de remonté le moral à son frère mais ce dernier ne trouva rien de mieux à faire que de lui crier dessus, sur un coup de tête, un coup de colère, de tension et de stresse trop peu évacuer. Depuis sa mère lui en voulait, ses sœurs lui en voulait, il avait l'impression que le monde se retournait contre lui. Il allait devenir fou. Fou de colère, fou de rage, non, il n'en pouvait plus de tout ce bordel dans sa tête, de toutes ses photos d'Harry et lui dans sa chambre, dans le salon, dans la cuisine, la salle de bain, partout où il pouvait en mettre il en mettait. Harry lui manquait, peut être trop, peut être pas assez. Il avait besoin de sentir sa présence, et pour ça, il n'avait trouver rien d'autre que les photos. Il en avait sur tous les murs, sur la table, même sur la tellière il y en avait une. La motivation avait disparue et semblait avoir emporter avec elle l'humour de Louis, qui ne riait plus. Il souriait seulement face à certaines photos qui lui rapellait des moments de complicité avec son petit bouclé. Des enregistrements tournaient en boucle dans la télévisions, une compilation des "Best Larry Stylinson's moments." Larry Stylinson, Louis Tomlinson et Harry Styles.. Harry Styles et Louis Tomlinson. Il aimait beaucoup cette idée de "Bromance" ce nom "Larry Stylinson" il aimait le fait que les fans soit aussi attentif à leur proximité, leur amitié si belle, mais à vrai dire, qui cachait beaucoup de secrets. Pourquoi Harry lui avait-il cacher quelque chose d'aussi important ? Pourquoi le dire maintenant alors que nous somme en plein dans une assention fulgurante ? Alors que le groupe est presque un des plus célèbre de toute la planète ? Pourquoi à un tel moment où cela risquait de réduire tout à néant ? Il ne comprenait pas. Il ne comprenait plus rien plutôt.
****
Dans l'avion, Harry tentait de garder son calme, de ne pas paniquer, il voulait stopper cette angoisse invivable, mais n'y arrivait pas, ça tournait encore et encore, toutes ces question sans queue ni tête. Le commandant de bord venait d'annoncer qu'il n'étaient plus qu'à une heure de l'aéroport Londonien. Et Harry qui avait réussis à gérer stresser jusqu'à lors, se lâcha totalement, la peur l'envahissait, il la sentait partout dans son corps, accompagnant les frissons à l'idée d'être rejeter. On aurait cru que l'apocalypse allait arrivée d'une minute à l'autre. Il essayait de se détendre, de dormir, écouter de la musique, regarder un film mais rien ne marchait, il détournait son esprit à chaque fois. Le temps défilait sous ses yeux terni par l'angoisse, et quand il sentit comme un haut de cœur signalant que les roues de l'avion venaient d'entrées au contact avec le sol, il cru que oui, cette fois tout était fini pour lui, et ces scénarios retournaient dans sa tête, encore et encore alors qu'il prenait la navette pour accéder à la salle de débarquement. Il guettait s'il ne voyait pas Louis ou une autre personne susceptible de le reconnaitre, même camouflé. Personne. Il se dépêcha de récupéré ses bagages et se hâta vers la sortie, ne sachant que faire, rentrer ? Ou en finir ? Il n'avai strictement pas envie d'être briser une deuxième fois, mais il voulait revoir Louis. Il cherchait alors sa voiture sur le vaste parking, et la trouva, tout au fond mais à sa plus grande surprise, quelqu'un se tenait juste devant le capot, tête baissée, vêtu d'un pantalon rouge. Personne ne pouvais le manquer avec un jean de cette couleur. Il s'approcha alors, le plus doucement possible. Les questions se bousculaient de plus en plus dans sa tête, il n'arrivait plus à penser clairement, et quand il tendit la main vers son vis-à-vis, celui ci le rejeta tout en relevant la tête, laissant apercevoir un Louis Tomlinson qu'il ne connaissait pas, un Louis pleurant à chaudes larmes. Pourquoi pleurait-il ? Pourquoi avait-il rejeter Harry ? Personne ne le savait. Harry ouvrit la voiture et ils y pénétrèrent dans le silence. Durant le trajet, pas un seul d'eux n'adressa ne serait-ce qu'un mot à l'autre. Seul certains sanglots se firent entendre. Et c'était comme ça durant une heure et demie.
****
Enfin de retour à l'appartement, toujours pas un seul mot, même pas un regard, un contact, rien. Harry fût directement surpris pas la "tapisserie" photo. Il y en avait partout, et là, pour la première fois depuis un long moment, leurs regard se croisèrent. Le regard interrogateur d'Harry, et le regard anéanti de Louis. Soudain, Louis fit un pas, puis deux, puis un dizaine en se dirigeant vers un des murs les plus couvert de photo d'Harry, puis se mit à les déchirées, les balancées à travers toutes la pièce, lâchant quelque cris ou gémissement en même temps. Il avait l'impression d'enfin se libéré, enfin pouvoir vider toute cette douleur qu'il avait garder.
- Tu vois Harry.. Tu m'as abandonner, tu m'as lâchement laissé ici avec ma haine. Ma haine envers toi. Tu croyais vraiment pouvoir tout oublier avec un simple séjour loin de moi ? Tu crois vraiment que c'était la meilleur solution ? Tu as vraiment cru qu'en me laissant comme seul au monde tout allait s'arranger ? Non mais tu avais bu ou quoi ? T'étais drogué ? T'avais quoi ? Tu n'es pas si bête que ça Harry. Pourquoi tu es partit ?
- Je te l'ai dis dans la lettre, je..
- Je t'ai demander POURQUOI TU ES PARTI ? Ne joue pas à ce petit jeu là avec moi Harry, tu sais bien que je déteste ça !
- .. Je croyais.. Je croyais que si je partais, vous seriez mieux sans moi. Je croyais pouvoir me passer de toi, mais non, j'y suis pas arrivé. je croyais que si je partais c'était mieux pour tout le monde et OUI, je sais, j'ai eu tord je pense assez culpabilisé comme ça, ce n'est pas la peine d'en rajouter une couche !
- Oh que si c'est la peine ! Tu te rend compte Harry ?! Tu te rend compte que mon cœur tu l'a déchirer comme je viens de déchirer ces photos ? Tu te rend compte que je me suis mutiler en pensant que tout cela n'était qu'un cauchemar et des pires qui soit ? Est ce que tu t'es demander une seule fois ce que ça me ferais à moi si tu partais ? NON. Alors oui, j'ai raison d'en rajouter !
- Mais Lou, je..
- Arrête Harry. Stop. C'est fini. J'en ai marre. Tu me cache trop de choses, je.. Je ne te comprends plus. J'ai tellement de questions à te poser, tellement de chose à te dire, mon cerveau est en sur-chauffe. Je n'en peux plus. Depuis un mois je n'ai plus un rythme de vie normal, depuis un mois je ne dors presque pas. Depuis un mois que tu m'a laisser Harry, j'ai cru que la fin du monde allait arrivée.
Harry l'observait en silence, se sentant coupable de la souffrance de son meilleur ami. Finalement, il ne s'en fichait pas. Malgré que Louis continuait de crier à tout son désarroi. Et Harry savait bien que même derrière ces paroles, le pardon n'était pas acquis pour autant.
Chapitre III.
Closer maybe looking closer.
Closer maybe looking closer.
Cela fait bientôt trois semaines qu'Harry est partit. Trois semaines que le groupe se décompose presque. Trois semaines que Louis ne dors pratiquement plus. Trois semaines que la maladie d'Harry se développe. 0ui, effet, en trois semaine, beaucoup de choses avaient changés. Tout particulièrement Harry, qui était devenu froid avec tout le monde. Il avait perdu le sourire, le "Harry souriant" ne semblait être qu'une image lointaine. Il sortait de sa chambre, mais qu'avec ce gilet, même sous presque 35°c dehors, il le portait, ce qui provoqua sa maladie, plus communément appeler la "crève" d'où il vient. Une sorte de rhume aggravé, ou quelque chose qui s'en rapprochait. Autant dire qu'il s'en fichait royalement, il continuait à le porter, ne s'en séparant jamais. Pour lui, c'était le seul lien qui le tenait encore à la vie. Il avait cesser de pleuré, c'était sa seule condition pour rentrer avec le groupe. Arrêter de pleurer, ne plus s'apitoyer sur son sort, redevenir fort. Voilà ce qu'il s'était fixer. Il ne voulait plus perdre de temps à se lamenter. Dans 8 jours, il rentrerait les voire. Niall, Liam, Zayn, ses parents, sa meilleure amie, et bien sûr, Louis.. En était-il heureux ? Personne ne le savait, il ne laissait rien paraitre, il gardait tout pour lui. Il avait comme seule compagnie l'angoisse, et celle-ci n'était pas d'une grande aide pour lui. Malgré tout, il ne se laissait pas abattre, il sortait plus souvent, plage, piscine, salle de sport, restaurants, mais son visage n'exprimait aucun sentiment, il était comme indifférent à tout ce qu'il se passait, comme s'il regardait la scène sans même y être.
Eleanor ne venait plus à l'appartement de Louis et Harry, elle était repartie chez ses parents pour laisser Louis réfléchir seul. Après tout, elle supportait sa mauvaise humeur, ses crises, tout, et ce n'était pas de tout repos. En parlant de Louis, il allait de moins en moins bien, presque une semaines qu'il ne dors pas ou très, très peu.
Elipse de six jours.
Deux jours. Deux derniers jours de liberté. Enfin, si on pouvait appeler ça de cette manière. Pour Harry, ce n'était ni plus ni moins qu'une corvée. Quelque chose qu'il devait faire sans réellement avoir la moindre conviction. Il se demandait comment cela s'était-il dérouler pour les autres. Pour les médias aussi. Le monde des paparazzi ne vous épargne jamais, alors s'il était arrivé quelque chose au groupe par sa faute, il s'en serait voulu à jamais. Puis, il se demanda comment allait son petit irlandais, ainsi que Liam, Zayn, ses meilleurs amis, sa famille, mais surtout Louis. Il appréhendait. Et si à son retour Louis lui en voulait ? Et s'il était fâcher contre lui ? S'il s'était senti délaisser ? Et de fil en aiguilles il vint à se demander si en fait, Louis ne s'en fichais pas un peu ? Peut être bien qu'en fait tout ça ne l'a pas atteint plus que ça. Peut être bien qu'en fait Louis n'y prêtait pas plus attention que ça. Et si au final Louis n'avait pas envie qu'il revienne. Harry se préparait -Enfin, non, se martyrisait le coeur- à toutes éventualités.
- Larry Stylinson..
0ui, c'est comme ça que l'on les appelait, lui et Louis. Parce qu'il s'entendait vraiment bien, parce qu'il avait cette complicité inégalable, parce qu'il avait développer cette Bromance magnifique. 0ui, Larry Stylinson, un composé de leurs nom qui sonnait vraiment bien. Ce n'est pas juste se disait-il. Et si au fond il avait gâcher leur amitié ? Gâché Larry Stylinson ? Gâché leurs années d'amitié si fusionnelle ? Et si au fond, il n'avait pas tout ruiné ? Tout gâché et anéantit ? Si au fond, en partant, il n'avait pas fait un des plus grosses erreur de sa vie ? Sa réponse à ces question : Surement. 0ui, peut être qu'après tout il avait raison. De toutes façon, il ne pouvait plus faire marche arrière, tout était déjà fait. Et c'était dans exactement 46heures et 23 minutes qu'il allait avoir sa réponse.
Super ! Se disait Louis. En plus d'avoir perdu son meilleur ami et sa petite amie, il fallait en plus qu'il se dispute avec une de ses quatre sœur, Charlotte, ou plutôt, Lottie. 0ui, elle était venue lui rendre visite dans l'espoir de remonté le moral à son frère mais ce dernier ne trouva rien de mieux à faire que de lui crier dessus, sur un coup de tête, un coup de colère, de tension et de stresse trop peu évacuer. Depuis sa mère lui en voulait, ses sœurs lui en voulait, il avait l'impression que le monde se retournait contre lui. Il allait devenir fou. Fou de colère, fou de rage, non, il n'en pouvait plus de tout ce bordel dans sa tête, de toutes ses photos d'Harry et lui dans sa chambre, dans le salon, dans la cuisine, la salle de bain, partout où il pouvait en mettre il en mettait. Harry lui manquait, peut être trop, peut être pas assez. Il avait besoin de sentir sa présence, et pour ça, il n'avait trouver rien d'autre que les photos. Il en avait sur tous les murs, sur la table, même sur la tellière il y en avait une. La motivation avait disparue et semblait avoir emporter avec elle l'humour de Louis, qui ne riait plus. Il souriait seulement face à certaines photos qui lui rapellait des moments de complicité avec son petit bouclé. Des enregistrements tournaient en boucle dans la télévisions, une compilation des "Best Larry Stylinson's moments." Larry Stylinson, Louis Tomlinson et Harry Styles.. Harry Styles et Louis Tomlinson. Il aimait beaucoup cette idée de "Bromance" ce nom "Larry Stylinson" il aimait le fait que les fans soit aussi attentif à leur proximité, leur amitié si belle, mais à vrai dire, qui cachait beaucoup de secrets. Pourquoi Harry lui avait-il cacher quelque chose d'aussi important ? Pourquoi le dire maintenant alors que nous somme en plein dans une assention fulgurante ? Alors que le groupe est presque un des plus célèbre de toute la planète ? Pourquoi à un tel moment où cela risquait de réduire tout à néant ? Il ne comprenait pas. Il ne comprenait plus rien plutôt.
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Dans l'avion, Harry tentait de garder son calme, de ne pas paniquer, il voulait stopper cette angoisse invivable, mais n'y arrivait pas, ça tournait encore et encore, toutes ces question sans queue ni tête. Le commandant de bord venait d'annoncer qu'il n'étaient plus qu'à une heure de l'aéroport Londonien. Et Harry qui avait réussis à gérer stresser jusqu'à lors, se lâcha totalement, la peur l'envahissait, il la sentait partout dans son corps, accompagnant les frissons à l'idée d'être rejeter. On aurait cru que l'apocalypse allait arrivée d'une minute à l'autre. Il essayait de se détendre, de dormir, écouter de la musique, regarder un film mais rien ne marchait, il détournait son esprit à chaque fois. Le temps défilait sous ses yeux terni par l'angoisse, et quand il sentit comme un haut de cœur signalant que les roues de l'avion venaient d'entrées au contact avec le sol, il cru que oui, cette fois tout était fini pour lui, et ces scénarios retournaient dans sa tête, encore et encore alors qu'il prenait la navette pour accéder à la salle de débarquement. Il guettait s'il ne voyait pas Louis ou une autre personne susceptible de le reconnaitre, même camouflé. Personne. Il se dépêcha de récupéré ses bagages et se hâta vers la sortie, ne sachant que faire, rentrer ? Ou en finir ? Il n'avai strictement pas envie d'être briser une deuxième fois, mais il voulait revoir Louis. Il cherchait alors sa voiture sur le vaste parking, et la trouva, tout au fond mais à sa plus grande surprise, quelqu'un se tenait juste devant le capot, tête baissée, vêtu d'un pantalon rouge. Personne ne pouvais le manquer avec un jean de cette couleur. Il s'approcha alors, le plus doucement possible. Les questions se bousculaient de plus en plus dans sa tête, il n'arrivait plus à penser clairement, et quand il tendit la main vers son vis-à-vis, celui ci le rejeta tout en relevant la tête, laissant apercevoir un Louis Tomlinson qu'il ne connaissait pas, un Louis pleurant à chaudes larmes. Pourquoi pleurait-il ? Pourquoi avait-il rejeter Harry ? Personne ne le savait. Harry ouvrit la voiture et ils y pénétrèrent dans le silence. Durant le trajet, pas un seul d'eux n'adressa ne serait-ce qu'un mot à l'autre. Seul certains sanglots se firent entendre. Et c'était comme ça durant une heure et demie.
****
Enfin de retour à l'appartement, toujours pas un seul mot, même pas un regard, un contact, rien. Harry fût directement surpris pas la "tapisserie" photo. Il y en avait partout, et là, pour la première fois depuis un long moment, leurs regard se croisèrent. Le regard interrogateur d'Harry, et le regard anéanti de Louis. Soudain, Louis fit un pas, puis deux, puis un dizaine en se dirigeant vers un des murs les plus couvert de photo d'Harry, puis se mit à les déchirées, les balancées à travers toutes la pièce, lâchant quelque cris ou gémissement en même temps. Il avait l'impression d'enfin se libéré, enfin pouvoir vider toute cette douleur qu'il avait garder.
- Tu vois Harry.. Tu m'as abandonner, tu m'as lâchement laissé ici avec ma haine. Ma haine envers toi. Tu croyais vraiment pouvoir tout oublier avec un simple séjour loin de moi ? Tu crois vraiment que c'était la meilleur solution ? Tu as vraiment cru qu'en me laissant comme seul au monde tout allait s'arranger ? Non mais tu avais bu ou quoi ? T'étais drogué ? T'avais quoi ? Tu n'es pas si bête que ça Harry. Pourquoi tu es partit ?
- Je te l'ai dis dans la lettre, je..
- Je t'ai demander POURQUOI TU ES PARTI ? Ne joue pas à ce petit jeu là avec moi Harry, tu sais bien que je déteste ça !
- .. Je croyais.. Je croyais que si je partais, vous seriez mieux sans moi. Je croyais pouvoir me passer de toi, mais non, j'y suis pas arrivé. je croyais que si je partais c'était mieux pour tout le monde et OUI, je sais, j'ai eu tord je pense assez culpabilisé comme ça, ce n'est pas la peine d'en rajouter une couche !
- Oh que si c'est la peine ! Tu te rend compte Harry ?! Tu te rend compte que mon cœur tu l'a déchirer comme je viens de déchirer ces photos ? Tu te rend compte que je me suis mutiler en pensant que tout cela n'était qu'un cauchemar et des pires qui soit ? Est ce que tu t'es demander une seule fois ce que ça me ferais à moi si tu partais ? NON. Alors oui, j'ai raison d'en rajouter !
- Mais Lou, je..
- Arrête Harry. Stop. C'est fini. J'en ai marre. Tu me cache trop de choses, je.. Je ne te comprends plus. J'ai tellement de questions à te poser, tellement de chose à te dire, mon cerveau est en sur-chauffe. Je n'en peux plus. Depuis un mois je n'ai plus un rythme de vie normal, depuis un mois je ne dors presque pas. Depuis un mois que tu m'a laisser Harry, j'ai cru que la fin du monde allait arrivée.
Harry l'observait en silence, se sentant coupable de la souffrance de son meilleur ami. Finalement, il ne s'en fichait pas. Malgré que Louis continuait de crier à tout son désarroi. Et Harry savait bien que même derrière ces paroles, le pardon n'était pas acquis pour autant.
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