Chapitre III
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Chapitre III
AUTEUR : x-sha-univers-x
D'un geste presque mécanique, maintenant tellement habituel, la main de Louis caressait les boucles brunes de la tête qui pesait contre son épaule. Harry s'était endormis durant le trajet jusqu'à l'hôtel. Les deux garçons étaient seuls dans la voiture, l'aîné ayant pour mission de réveiller son amant. Mais il était beaucoup trop tentant pour Louis de laisser ce petit ange dormir dans ses bras. Il l'observait attentivement, détaillant chaque parcelle de son visage, cherchant l'imperfection introuvable. Pour lui, tout était parfait. Ses boucles brunes étaient si douce et attirés les mains à s'y niché. Ses lèvres fines étaient roses, pulpeuses, attirantes et quand on y goûtait, on y devenait facilement accro. Ses yeux, cachés par ses paupières closes, étaient un océan de bleu, une infinie prairie de vert animé par ces pupilles pétillant de malice et d'intelligence. Ses pommettes légèrement rosies où se dessinaient de superbes fossettes lorsqu'il souriait n'appelaient qu'à être embrassés. Louis sourit en se disant que c'était lui à qui tout cela appartenait et qu'en réalité, il suffirait de quelques mots pour briser les fantasmes de centaines de fans pensant probablement la même chose que lui. Mais il y avait tout de même une différence : Louis était persuadé du fait que personne ne pouvais aimé Harry autant que lui-même. Peu être avait-il tord, peu être avait-il raison. En réalité, peu l'importé. Ce qui comptait, c'était que tout deux étaient probablement les amants cachant le plus bel amour pouvant exister.
Le brun remua légèrement dans son sommeil. Il murmura quelques mots inaudibles puis, plus distinctement, il chuchota le prénom de Louis. Celui-ci sourit amoureusement. Il se ressaisit, prenant d'un coup un rictus on ne peut plus sérieux, se rendant compte du sourire niais qu'il venait d'afficher. L'amour rends con, pensa-t-il avant de rajouter pour soit même que ça procuré quand même le plus beau des plaisirs. Il aimait aimer et être aimé, d'autant plus quand c'était Harry. Le beau brun remua de plus belle et ses paupières s'entrouvrirent. Quel plaisir fut pour Louis que de voir les beaux yeux de son amant s'ouvrir, encore embués par le sommeil. Qu'est ce qu'il aimait voir ce visage au réveil. Harry, marmotte dans l'âme, était toujours le dernier des deux à se s'expiré de son sommeil. Quand ils passaient la nuit ensemble, Louis se plaisait à fixé amoureusement le plus jeune en attendant son réveil le matin venu. Quand à Harry, il se sentait tellement bien quand la première chose qu'il voyait en ouvrant les paupières était le visage attentionné de Louis guettant avec envie le moment ou le brun quitterait les bras de Morphée pour atterrir dans les siens.
Aucun des deux garçons ne bougeaient. Ils se regardaient amoureusement dans les yeux, une lueur qualifiant l'amour, le désir et l'envie l'un de l'autre brillant dans leurs yeux. Louis ne cessé de caresser le cheveux du plus jeune, souriant de ce sourire tellement beau. Harry aimait ce sourire. Ce sourire qui voulait dire « Je t'aime ». Leurs lèvres se rencontrèrent une première fois. Puis une seconde. Juste en surface, elles s'effleuraient dans un baiser qui ne durait que quelques ridicules secondes. Lorsque pour la troisième fois Harry sentit la bouche de son amant sur la sienne, il se redressa dans ses bras de façons à approfondir ce baisé. Se contact électrisant aiguisait ses sens et il lui était impossible de résister à l'envie profonde de se sentir encore plus proche de son amant. Il s'assit doucement sur les genoux de Louis, lui faisant face, les mains entourant possessivement son visage. Louis caressa doucement de sa langue les lèvres de son amant avec une douceur incomparable et indescriptible. C'était désormais une tendre et possessive symphonie de lèvres et de langue. De l'amour, un peu de sauvagerie de façon à montrer leur attachement l'un à l'autre. Quand ils se séparent, Harry ri devant l'état de leur deux jeans slim étant devenue beaucoup trop serré. En ce moment, le sexe n'avait plus sa place dans leur vie surchargée. Ils passaient leurs nuits à se câliner mais jamais il ne pouvait aller plus loin. Ils étaient toujours interrompu et seul des baisés torrides sans suite prenait encore vie. Mais ils leur étaient impossibles de le faire dans cette voiture même si l'occasion qui se présentait était tentante, ils durent résister. Sous peine de se faire surprendre par un paparazzi, qui, malgré les vitres teintée trouverais un moyen d'avoir une photo, ou par leur manager, venu au nouvelles, intrigué du fait qu'Harry dorme toujours alors qu'il avait demandé à Louis de l'éveiller au plus vite.
Se prenant l'un et l'autre par la main, ils sortirent de la voiture en prenant soin de bien la fermer à clé. Une voiture de luxe comme celle en tenterais plus d'un et malgré la haute surveillance de l'hôtel, il valait mieux se méfier d'une quelconque tentative de vol. Ainsi, Louis ayant fermé la voiture et même vérifier à trois reprise que cela avait bien fonctionné, les deux amants rentrèrent dans l'établissement où ils étaient logé main dans la main, ne pouvant esquiver quelques flashs. Ils se fichaient que ce genre de photo soit prises. Pour tout le monde, ils étaient des meilleurs amis extrêmement proches, créant parfois une ambiguïté visible. Paul accepté cela, heureux que cela crée du même coup de légère polémique, des interrogations sur Internet de la par des fans. Cette relation devait être caché : il ne fallait pas perdre des fans. Mais, l'ambiguïté devait persistée pour la simple et bonne raison qu'elle leur provoquait une certaine publicité.
Arrivé devant la porte de leur suite, alors qu'Harry allait abaisser la poigné, elle s'ouvrit à la volée et les deux garçons tombèrent nez à nez avec Caroline. La si belle maman de Lux montra d'abord une expression surprise car elle avait manqué de rentré dans Harry puis afficha un grand sourire, heureuse de voir le jeune brun.
« -Harry ! commença-t-elle d'une voix enjoué. Je suis contente de te voir ! Lux est au lit et je sors ce soir. Je peu compter sur toi pour t'en occuper ?
-Bien sûr, répondit-il immédiatement. »
Harry souriait de toutes ses dents, heureux d'avoir une fois de plus la responsabilité de la petite monstresse qu'il aimait tant. Mais a peine posa-t-il un pied dans le salon que la réalité le rattrapa. La seule fille présente dans la pièce dans laquelle se trouvaient aussi Niall et Zayn n'était autre qu'Eleanor. Elle se leva d'un bond du canapé ou elle était nonchalamment avachie sous les regards interogateurs des deux garçons assis en face d'elle, Niall et Zayn. Ce genre de mouvement chez elle n'annoncé jamais rien de bon. D'un simple regard, elle fit comprendre au deux tourtereaux qu'il était temps qu'ils parlent. Elle se dirigea sans un mot vers la chambre de Louis et celui-ci l'y suivit. Harry quand à lui prit une énorme inspiration et allait partir rejoindre le faux couple quand il sentit mains se poser sur ses épaules. Il se retourna et tomba nez à nez avec Zayn lui souriant avec compassion. Harry se blottit dans les bras forts de son meilleur ami et celui-ci l'y berça en lui chuchotant qu'il était avec lui. Durant l'étreinte, Niall s'était joint à eux et appuyé sur l'épaule du bouclé, lui souhaitant silencieusement bon courage.
Quand Harry franchit la porte, qu'il ferma délicatement pour éviter au deux garçons dans le salon d'entendre leur joyeuse discussion qui tournerait probablement en dispute, il lui sembla que la température de la pièce était inférieure à dix degrés. La tentions était palpable : les deux jeunes étaient chacun assis d'un côté du lit, cherchant à ne jamais faire rencontré leurs regards. Pourtant, les deux paires d'yeux se posèrent en même temps sur le brun quand celui-ci eut fermé la porte, comme s'il était un intrus, ou plutôt, la cause de ce froid. Harry s'assit en tailleur au sol, devant le faux couple pourtant éloigné d'au moins un mètre, et les fixa tour à tour. Il se décida finalement à parler le premier, se disant qu'après tout, c'était lui qui avait désiré cette discussion.
« -Eleanor... Lou... C'est vous qui avez imaginé ce stratagème. C'est votre faute, pas la mienne alors je vous interdis de vous retourner contre moi pour une quelconque raison.
-Quand tu m'as demandé de jouer le jeu, marmonna Eleanor à l'intention de Louis, je n'aurais jamais du excepter. Ce jeu me saoule.
-Ce n'est pas un jeu, la corrigea froidement le méché. Si t'es plus là, n'importe qui devient en posture de dire qu'Harry et moi sommes en couple.
-Alors en réalité, s'énerva la jeune fille, je suis juste une putain de couverture, rien de plus ! Je sais que tu ne me supportes pas Tomlinson alors pourquoi on continu ?
-Hey, tenta d'apaiser Harry, Louis pourquoi à tu choisis Eleanor ?
-...
-Parce que c'était ta meilleure amie, répondit-il à sa place. Je me sens obligé de dire c'était parce que vous avez tout gâcher. Pourquoi n'avez vous pas seulement pris ça comme un jeu ? Combien de meilleurs amis ne se sont pas un jour mis en couple pour faire jalouser la personne qu'ils veulent ? Pourquoi vous prenez ça comme ça ? Pourquoi ça à gâcher votre amitié qui à l'époque me rendais jaloux ?
-Haz, c'est pas un jeu tu sais. On est connu. Si on apprenait que notre relation est fausse, on est mort. Tu sais très bien que le monde du show business est dur et sélectif. Et bien souvent, les pédé n'y ont pas leur place. Compte les stars homos par rapport aux hétéros ? On est une minorité. C'est pour ça qu'on se cache. Eleanor n'a pas le droit de ce faire voir avec un autre garçon. Je n'ai pas le droit de me faire voir avec toi. Comment on pourrait jouer de ça Haz ? »
Harry baissa les yeux, dépité par son propre idéalisme. C'est ce moment que choisis la petite blondinette, Lux, pour commencer à pleurnicher pour qu'on la sorte de son lit. Harry se leva et, avant de passer la porte, il rajouta :
« On en parlera à Paul. S'il n'accepte pas qu'on arrête cette mascarade, il faudra juste prendre sur nous... Mais on est fort. »
Il se précipita dans la chambre de la petite, suivi de près par Louis.
Les événements suivants se déroulèrent très vite : Eleanor, à peine la porte fermé, attrapa son ordinateur portable et se précipita sur son compte twiter. A peine eu-t-elle entré son mot de passe qu'elle brancha son portable à un périphérique et sélectionna une vidéo de Louis et Harry s'embrassant amoureusement, se câlinant en riant les autres garçons, l'air heureux. Elle marqua un commentaire « Je n'étais qu'une couverture : en réalité, Larry Stylinson existe. Que du bonheur pour eux ! ».
Le curseur de la sourie n'était plus qu'à quelques centimètre du bouton envoyer. Elle ne prit pas le temps d'hésiter, elle ne voulait pas hésiter...
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D'un geste presque mécanique, maintenant tellement habituel, la main de Louis caressait les boucles brunes de la tête qui pesait contre son épaule. Harry s'était endormis durant le trajet jusqu'à l'hôtel. Les deux garçons étaient seuls dans la voiture, l'aîné ayant pour mission de réveiller son amant. Mais il était beaucoup trop tentant pour Louis de laisser ce petit ange dormir dans ses bras. Il l'observait attentivement, détaillant chaque parcelle de son visage, cherchant l'imperfection introuvable. Pour lui, tout était parfait. Ses boucles brunes étaient si douce et attirés les mains à s'y niché. Ses lèvres fines étaient roses, pulpeuses, attirantes et quand on y goûtait, on y devenait facilement accro. Ses yeux, cachés par ses paupières closes, étaient un océan de bleu, une infinie prairie de vert animé par ces pupilles pétillant de malice et d'intelligence. Ses pommettes légèrement rosies où se dessinaient de superbes fossettes lorsqu'il souriait n'appelaient qu'à être embrassés. Louis sourit en se disant que c'était lui à qui tout cela appartenait et qu'en réalité, il suffirait de quelques mots pour briser les fantasmes de centaines de fans pensant probablement la même chose que lui. Mais il y avait tout de même une différence : Louis était persuadé du fait que personne ne pouvais aimé Harry autant que lui-même. Peu être avait-il tord, peu être avait-il raison. En réalité, peu l'importé. Ce qui comptait, c'était que tout deux étaient probablement les amants cachant le plus bel amour pouvant exister.
Le brun remua légèrement dans son sommeil. Il murmura quelques mots inaudibles puis, plus distinctement, il chuchota le prénom de Louis. Celui-ci sourit amoureusement. Il se ressaisit, prenant d'un coup un rictus on ne peut plus sérieux, se rendant compte du sourire niais qu'il venait d'afficher. L'amour rends con, pensa-t-il avant de rajouter pour soit même que ça procuré quand même le plus beau des plaisirs. Il aimait aimer et être aimé, d'autant plus quand c'était Harry. Le beau brun remua de plus belle et ses paupières s'entrouvrirent. Quel plaisir fut pour Louis que de voir les beaux yeux de son amant s'ouvrir, encore embués par le sommeil. Qu'est ce qu'il aimait voir ce visage au réveil. Harry, marmotte dans l'âme, était toujours le dernier des deux à se s'expiré de son sommeil. Quand ils passaient la nuit ensemble, Louis se plaisait à fixé amoureusement le plus jeune en attendant son réveil le matin venu. Quand à Harry, il se sentait tellement bien quand la première chose qu'il voyait en ouvrant les paupières était le visage attentionné de Louis guettant avec envie le moment ou le brun quitterait les bras de Morphée pour atterrir dans les siens.
Aucun des deux garçons ne bougeaient. Ils se regardaient amoureusement dans les yeux, une lueur qualifiant l'amour, le désir et l'envie l'un de l'autre brillant dans leurs yeux. Louis ne cessé de caresser le cheveux du plus jeune, souriant de ce sourire tellement beau. Harry aimait ce sourire. Ce sourire qui voulait dire « Je t'aime ». Leurs lèvres se rencontrèrent une première fois. Puis une seconde. Juste en surface, elles s'effleuraient dans un baiser qui ne durait que quelques ridicules secondes. Lorsque pour la troisième fois Harry sentit la bouche de son amant sur la sienne, il se redressa dans ses bras de façons à approfondir ce baisé. Se contact électrisant aiguisait ses sens et il lui était impossible de résister à l'envie profonde de se sentir encore plus proche de son amant. Il s'assit doucement sur les genoux de Louis, lui faisant face, les mains entourant possessivement son visage. Louis caressa doucement de sa langue les lèvres de son amant avec une douceur incomparable et indescriptible. C'était désormais une tendre et possessive symphonie de lèvres et de langue. De l'amour, un peu de sauvagerie de façon à montrer leur attachement l'un à l'autre. Quand ils se séparent, Harry ri devant l'état de leur deux jeans slim étant devenue beaucoup trop serré. En ce moment, le sexe n'avait plus sa place dans leur vie surchargée. Ils passaient leurs nuits à se câliner mais jamais il ne pouvait aller plus loin. Ils étaient toujours interrompu et seul des baisés torrides sans suite prenait encore vie. Mais ils leur étaient impossibles de le faire dans cette voiture même si l'occasion qui se présentait était tentante, ils durent résister. Sous peine de se faire surprendre par un paparazzi, qui, malgré les vitres teintée trouverais un moyen d'avoir une photo, ou par leur manager, venu au nouvelles, intrigué du fait qu'Harry dorme toujours alors qu'il avait demandé à Louis de l'éveiller au plus vite.
Se prenant l'un et l'autre par la main, ils sortirent de la voiture en prenant soin de bien la fermer à clé. Une voiture de luxe comme celle en tenterais plus d'un et malgré la haute surveillance de l'hôtel, il valait mieux se méfier d'une quelconque tentative de vol. Ainsi, Louis ayant fermé la voiture et même vérifier à trois reprise que cela avait bien fonctionné, les deux amants rentrèrent dans l'établissement où ils étaient logé main dans la main, ne pouvant esquiver quelques flashs. Ils se fichaient que ce genre de photo soit prises. Pour tout le monde, ils étaient des meilleurs amis extrêmement proches, créant parfois une ambiguïté visible. Paul accepté cela, heureux que cela crée du même coup de légère polémique, des interrogations sur Internet de la par des fans. Cette relation devait être caché : il ne fallait pas perdre des fans. Mais, l'ambiguïté devait persistée pour la simple et bonne raison qu'elle leur provoquait une certaine publicité.
Arrivé devant la porte de leur suite, alors qu'Harry allait abaisser la poigné, elle s'ouvrit à la volée et les deux garçons tombèrent nez à nez avec Caroline. La si belle maman de Lux montra d'abord une expression surprise car elle avait manqué de rentré dans Harry puis afficha un grand sourire, heureuse de voir le jeune brun.
« -Harry ! commença-t-elle d'une voix enjoué. Je suis contente de te voir ! Lux est au lit et je sors ce soir. Je peu compter sur toi pour t'en occuper ?
-Bien sûr, répondit-il immédiatement. »
Harry souriait de toutes ses dents, heureux d'avoir une fois de plus la responsabilité de la petite monstresse qu'il aimait tant. Mais a peine posa-t-il un pied dans le salon que la réalité le rattrapa. La seule fille présente dans la pièce dans laquelle se trouvaient aussi Niall et Zayn n'était autre qu'Eleanor. Elle se leva d'un bond du canapé ou elle était nonchalamment avachie sous les regards interogateurs des deux garçons assis en face d'elle, Niall et Zayn. Ce genre de mouvement chez elle n'annoncé jamais rien de bon. D'un simple regard, elle fit comprendre au deux tourtereaux qu'il était temps qu'ils parlent. Elle se dirigea sans un mot vers la chambre de Louis et celui-ci l'y suivit. Harry quand à lui prit une énorme inspiration et allait partir rejoindre le faux couple quand il sentit mains se poser sur ses épaules. Il se retourna et tomba nez à nez avec Zayn lui souriant avec compassion. Harry se blottit dans les bras forts de son meilleur ami et celui-ci l'y berça en lui chuchotant qu'il était avec lui. Durant l'étreinte, Niall s'était joint à eux et appuyé sur l'épaule du bouclé, lui souhaitant silencieusement bon courage.
Quand Harry franchit la porte, qu'il ferma délicatement pour éviter au deux garçons dans le salon d'entendre leur joyeuse discussion qui tournerait probablement en dispute, il lui sembla que la température de la pièce était inférieure à dix degrés. La tentions était palpable : les deux jeunes étaient chacun assis d'un côté du lit, cherchant à ne jamais faire rencontré leurs regards. Pourtant, les deux paires d'yeux se posèrent en même temps sur le brun quand celui-ci eut fermé la porte, comme s'il était un intrus, ou plutôt, la cause de ce froid. Harry s'assit en tailleur au sol, devant le faux couple pourtant éloigné d'au moins un mètre, et les fixa tour à tour. Il se décida finalement à parler le premier, se disant qu'après tout, c'était lui qui avait désiré cette discussion.
« -Eleanor... Lou... C'est vous qui avez imaginé ce stratagème. C'est votre faute, pas la mienne alors je vous interdis de vous retourner contre moi pour une quelconque raison.
-Quand tu m'as demandé de jouer le jeu, marmonna Eleanor à l'intention de Louis, je n'aurais jamais du excepter. Ce jeu me saoule.
-Ce n'est pas un jeu, la corrigea froidement le méché. Si t'es plus là, n'importe qui devient en posture de dire qu'Harry et moi sommes en couple.
-Alors en réalité, s'énerva la jeune fille, je suis juste une putain de couverture, rien de plus ! Je sais que tu ne me supportes pas Tomlinson alors pourquoi on continu ?
-Hey, tenta d'apaiser Harry, Louis pourquoi à tu choisis Eleanor ?
-...
-Parce que c'était ta meilleure amie, répondit-il à sa place. Je me sens obligé de dire c'était parce que vous avez tout gâcher. Pourquoi n'avez vous pas seulement pris ça comme un jeu ? Combien de meilleurs amis ne se sont pas un jour mis en couple pour faire jalouser la personne qu'ils veulent ? Pourquoi vous prenez ça comme ça ? Pourquoi ça à gâcher votre amitié qui à l'époque me rendais jaloux ?
-Haz, c'est pas un jeu tu sais. On est connu. Si on apprenait que notre relation est fausse, on est mort. Tu sais très bien que le monde du show business est dur et sélectif. Et bien souvent, les pédé n'y ont pas leur place. Compte les stars homos par rapport aux hétéros ? On est une minorité. C'est pour ça qu'on se cache. Eleanor n'a pas le droit de ce faire voir avec un autre garçon. Je n'ai pas le droit de me faire voir avec toi. Comment on pourrait jouer de ça Haz ? »
Harry baissa les yeux, dépité par son propre idéalisme. C'est ce moment que choisis la petite blondinette, Lux, pour commencer à pleurnicher pour qu'on la sorte de son lit. Harry se leva et, avant de passer la porte, il rajouta :
« On en parlera à Paul. S'il n'accepte pas qu'on arrête cette mascarade, il faudra juste prendre sur nous... Mais on est fort. »
Il se précipita dans la chambre de la petite, suivi de près par Louis.
Les événements suivants se déroulèrent très vite : Eleanor, à peine la porte fermé, attrapa son ordinateur portable et se précipita sur son compte twiter. A peine eu-t-elle entré son mot de passe qu'elle brancha son portable à un périphérique et sélectionna une vidéo de Louis et Harry s'embrassant amoureusement, se câlinant en riant les autres garçons, l'air heureux. Elle marqua un commentaire « Je n'étais qu'une couverture : en réalité, Larry Stylinson existe. Que du bonheur pour eux ! ».
Le curseur de la sourie n'était plus qu'à quelques centimètre du bouton envoyer. Elle ne prit pas le temps d'hésiter, elle ne voulait pas hésiter...
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